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Le saviez-vous!!!!

 Samuel Eto'o  a été élu par les socios meilleur "9" de l'histoire du club ( Fc Barcelone)

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Texte Libre

27 mai 2009 3 27 /05 /mai /2009 23:39


Viva Barça, Viva ETO'O, Viva Messi,Viva Iniesta,viva les Fans d'ETO'O viva le foot-ball

laissez vos commentaires, comment avez vous trouvez le match et la prestation d'ETO'O?
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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 22:15


Que vous inspire Manchester United ?

Je respecte les formidables compétiteurs que nous allons affronter et qui sont dirigés par un géant. Mais Pep Guardiola (ndlr : l’entraîneur de Barcelone), tout le monde au Barça et nos fans sont comme nous, les yeux rivés sur le trophée.

Que ressent-on quand on gagne une coupe ?

C’est indescriptible. Mais même quand on a vécu ça, on ne peut être blasé.

A qui penserez-vous en soulevant la Coupe de la Ligue des champions ?

Il ne faut jamais vendre la peau de l’ours… Manchester est une équipe à respecter. Ceux à qui je pense le savent. Le meilleur gagnera.

Et ce sera forcément Barcelone, fort de sa culture tauromachique : confrontation, feinte, estocade ?

C’est flatteur. Mais davantage que cela, ce qui nous caractérise au Barça, c’est vraiment la demande de travailler avec enthousiasme. J’en ai personnellement tiré la conclusion que rien n’est ni difficile ni insurmontable quand on veut éprouver du bonheur et surtout quand on veut le répandre autour de soi.

 

On vous présente, et vos performances l’attestent, comme le torero par excellence…

Non, je n’évolue pas dans une arène et ne joue pas ma vie à chaque match. Et puis, sans mes coéquipiers, je ne serais rien. J’ai aussi eu la chance de jouer dans trois grands clubs : Majorque, qui m’a donné ma chance, et puis les deux monstres sacrés que sont le Real et le Barça.

Vous exagérez pour Majorque…

Pas du tout. On ne peut jamais dire que la première marche d’un escalier compte pour du beurre. Sinon, il n’y a plus d’escalier. Majorque occupe une place spéciale dans mon cœur et mon vœu le plus cher est de lui réserver au moins ma dernière année de carrière et faire en sorte que la boucle soit bouclée. On ne peut pas vivre sans souvenirs ou sans fil conducteur. Sinon, on s’égare.


« Federer a battu Nadal à Madrid : il ne faut pas baisser les bras ! »

Vous venez d’évoquer la place de Majorque dans votre cœur. Majorque, c’est aussi Rafael Nadal. Quelles relations entretenez-vous ?

Nos agendas sont chargés, pas facile de se voir. Je suis épaté par ses performances et son sérieux. Je lui souhaite un grand succès à Roland Garros.

Voilà qui va chagriner les supporters suisses…

Je n’ai rien contre Roger (Federer), qui est du reste un pote de Thierry Henry. Nous nous voyons donc souvent. La dernière victoire de Roger sur Rafa au tournoi de Madrid a certainement montré aux jeunes qu’il ne faut jamais baisser les bras et renoncer. Tout reste possible en sport et dans la vie pour ceux qui s’accrochent.

Vous êtes un battant, certes, mais on vous a vu ébranlé par les actes de racisme et prêt à quitter le stade de Saragosse en février 2006.

Cela débordait d’une rage incontrôlable et forcément de quelque chose d’inacceptable. J’ai acquis la conviction que ceux qui crient le font parfois par ignorance. J’ai failli quitter le stade, oui, et, qui sait, le foot. Mais vous ne pouvez imaginer le réconfort que j’ai reçu de beaucoup d’autres joueurs comme Carles Puyol, Thierry Henry, Thuram et d’autres qui ont mouillé leur maillot d’homme pour que le malentendu cesse.

 

Quel autre mal guette selon vous le football ?


La contestation des décisions des arbitres est dangereuse. Le football reste un jeu et un spectacle qui ne doivent pas être faussés, mais il faut respecter l’arbitre. Lui aussi fait son match dans le match, avec sa conscience et tous les yeux braqués sur lui. Il peut lui aussi rater son match. C’est humainement compréhensible et nous sommes, nous joueurs, mal placés pour lui balancer des pierres. Si un arbitre sort de son match, je ne crois pas qu’il le fasse intentionnellement.

La vidéo peut-elle atténuer les critiques ?

Je suis contre la vidéo. Il faut laisser les matches se jouer et se décider au vu et au su de tout le monde. La beauté du jeu, c’est le direct, le terrain. Le tapis vert va tuer la dramaturgie du direct. Avec la vidéo, le football n’appartiendra plus aux footballeurs.

Si vous n’aviez pas été footballeur professionnel, quel métier auriez-vous aimé faire ?

Avocat.

Auriez-vous alors défendu Nelson Mandela ?

Madiba était déjà avocat lui-même et n’avait besoin de personne pour se défendre. Et puis, je ne suis pas né dans la même et terrible époque. Sincèrement, ce sont les petites gens que j’aurais voulu défendre. Je sais d’où je viens et combien il est cruel d’avoir le sentiment d’être peu ou rien.

Vous avez une double réputation : celle de ne pas mâcher vos mots et d’être généreux en diable.

L’important, ce n’est pas ce qu’on donne, mais la joie qu’on transmet. L’expérience accumulée, les trophées gagnés, mais aussi les blessures et les difficultés surmontées m’ont tanné le cuir. D’où mon refus pour tout ce qui peut tirer vers le bas. Après, chacun pense ce qu’il veut.

L’an dernier, le vestiaire du Barça ne bruissait que de remous. Y avait-il une querelle d’ego entre Ronaldinho et vous ?

Il y avait un souci. Nous nous sommes dit ce que nous avions sur le cœur. Ce que je dois ajouter, c’est que je n’ai pas vu un joueur, de toute ma vie de footballeur, capable de faire ce que Ronnie réalisait avec un ballon. Ceci n’enlève rien aux autres génies en activité. Il faut dire ce qui peut améliorer la performance collective. Moi, je respire et je ne vis que par le but. C’est un don.


Le don, cela se travaille ?

Je connais mes limites et travaille en conséquence pour rester performant. Regardez ce que je dois parfois endurer en équipe nationale du Cameroun et jouer presque à contre-emploi. Si ce n’était qu’une affaire d’ego, je n’accepterais plus de faire l’accordéon de haut en bas, alors que j’aime naviguer horizontalement et décrocher uniquement en phase ultradéfensive. Mais il faut se couler dans le moule collectif jusqu’à un certain point…

source: camfoot

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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 21:30
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22 mai 2009 5 22 /05 /mai /2009 14:27
Qu`on se le dise ! Samuel Eto`o n`a pas envie de partir, que ce soit pour l`Inter ou une autre grosse cylindrée européenne. Dans les colonnes du quotidien sportif italien La Gazzetta dello Sport, l`attaquant camerounais s`est confié et a souhaité clarifier son avenir après des rumeurs d`un échange avec Zlatan Ibrahimovic, le buteur suédois de l`Inter. Si l`Africain peut toujours être transféré contre son gré dans la cité lombarde, ce dernier n`entend pas quitter un club qui pratique, peut-être, le plus beau jeu d`Europe.



"Il n`y a pas mieux que Barcelone". Il n`y a pas d`équivoque. Samuel Eto`o, l`attaquant du Barça, n`entend pas quitter le club blaugrana à l`intersaison. Si évidemment, tout ne dépend pas de lui, l`avant-centre a en tout cas fait son choix, et connaissant l`homme et son caractère bien trempé, il ne changera pas d`avis. Dans un entretien accordé au journal italien La Gazzetta dello Sport, Samuel Eto`o a souhaité mettre les choses au clair pour ceux qui le voyaient déjà porter la tunique de l`Inter Milan la saison prochaine. Le FCB intéressé par Zlatan Ibrahimovic, un échange avait même été annoncé dans les médias entre le Ballon d`Or africain 2005 et le grand Scandinave surnommé "Ibracadabra".

Barça, mon amour

La saison passée, Samuel Eto`o était déjà annoncé un peu partout, - même en Ouzbékistan -, mais avait décidé contre vents et marées de rester dans le club blaugrana. "J`ai reçu une proposition très concrète du Kuruvchi Tachkent", avait-il alors indiqué avant de se raviser le 26 août dernier : "Je suis très content au Barça et je ne changerai pas de situation. Je me suis toujours bien senti au Barça, malgré ce qui s`est passé cet été (ses dirigeants l`avaient durant un temps placé sur la liste des transferts avant de se raviser). Je ne garde aucune rancoeur, ni contre le club, ni contre mon entraîneur."

Même Pep Guardiola, à l`époque, n`était pas sûr de vouloir garder le Camerounais, diablement efficace sur pré mais la

langue bien pendue en dehors du terrain. 29 réalisations plus tard, c`est peu de le dire que Pep Guardiola a sans doute réalisé son meilleur coup du mercato 2008, en décidant d`accorder une nouvelle chance à son buteur. Le parcours d`Eto`o aura d`ailleurs été semé d`embûches et ce, dès son plus jeune âge.

Sans rancune, le joueur a toutefois la force de persuasion qu`il faut pour faire entendre ses choix et s`imposer à ses entraîneurs respectifs, aussi bien par le talent que par la communication. Lâché en 2001 par le Real Madrid à Majorque pour 7 millions d`euros, le joueur n`a jamais pardonné cela à la Maison Blanche et sait qu`une carrière se joue souvent à bien peu de choses. Et pour cette raison, il n`est pas décidé à faire de concessions. Samuel Eto`o dérange parfois dans ses déclarations mais se fait comprendre, et rapidement. Alors que des rumeurs font donc état d`un échange Eto`o-Ibrahimovic, le natif de Nkon refuse d`aller en Italie ou ailleurs.

Et s`il partait contre son gré...

L`homme se plait à Barcelone et le fait savoir. "Il n`y a pas mieux que Barcelone, pourquoi je devrais changer ?", explique-t-il, avant d`ajouter : "Cette équipe a inscrit 150 buts cette saison, un record. Pour un attaquant, il n`y a pas mieux de jouer pour ce club. Quand je marque et que je rentre chez moi, je me sens bien. Je me sens utile et j`ai toujours le sentiment de participer à une fête."


En fin de contrat en 2010, Samuel Eto`o n`aura toutefois peut-être pas voix au chapitre. Sinon, comment expliquer qu`un club n`ait pas fait prolonger un joueur de son envergure, qui ne demande qu`à rester ? La réponse se trouve peut-être dans la cité lombarde, dans les murs d`Appiano Gentile où s`entraînent les joueurs de l`Inter Milan et un certain Zlatan Ibrahimovic...

Aimerez-vous voir ETO'O quitter le Fc Barcelone pour l'Inter de Millan? laissez-vos commentaires 

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17 mai 2009 7 17 /05 /mai /2009 00:23

ETO'O a contribué au titre de champion d'Espagne Grace aux 28 buts marqués pour le moment   et on espère qu'il sera Pichichi de la liga




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15 mai 2009 5 15 /05 /mai /2009 08:42
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14 mai 2009 4 14 /05 /mai /2009 06:43
ETO'O remporte la coupe d'Espagne
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11 mai 2009 1 11 /05 /mai /2009 08:39
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9 mai 2009 6 09 /05 /mai /2009 15:06


pour les fans ça donnent des frissons. Laissez vos commentaires

merci ETO'O. merci Messi. merci INESTA.  viva Barça. Barça Barça barrrrrrrrrrrrrrrrrrçççççççççççaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
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7 mai 2009 4 07 /05 /mai /2009 08:47
Dominé, réduit à 10, Barcelone a arraché le nul à Chelsea (1-1) et jouera la finale de la Ligue des Champions contre Manchester United. Un but d'Iniesta dans le temps additionnel, sur le seul tir cadré du match des Catalans, a eu raison de la défense remarquable des Blues, bien malheureux.


CHELSEA - BARCELONE : 1-1
Buts: Essien (9e) pour Chelsea; Iniesta (90e+3) pour Barcelone

Les Blues se demanderont longtemps comment ils ont pu passer à côté d'une place en finale. Pourtant, à quelques secondes près, la Ligue des Champions a bien failli connaître pour la première fois de son histoire la même affiche en finale deux années de suite: Chelsea - Manchester United. Mais un but dans le temps additionnel d'Iniesta était suffisant pour expédier le Barça en finale et faire entrer ce match retour - riche en intensité - dans l'histoire de la compétition. Une qualification aux allures de hold-up tant Chelsea a dominé de la tête et des épaules ce match retour.

Non content d'avoir fait de son équipe la seule cette saison à conserver sa cage inviolée au Camp Nou, Guus Hiddink a de nouveau trouvé la clé pour faire déjouer Barcelone. Le leader de la Liga, malgré une possession de balle supérieur à 60%, a probablement livré l'une de ses pires prestations de la saison. Les absences de Marquez, Puyol et Henry expliquent en partie le non-match du Barça. Mais les Catalans se sont surtout cassés les dents sur un Chelsea impressionnant défensivement et rarement inquiété. Jusqu'à l'égalisation d'Iniesta, le Barça n'a jamais été en mesure de trouver le cadre (13 tirs non cadrés) ni même parvenir à s'infiltrer dans les seize mètres de Cech de manière significative.

Abidal expulsé


Pourtant, les Blaugranas ont semblé débuter la rencontre par le bon bout en récupérant le ballon très haut pour camper dans la partie de terrain adverse. Mais, sur la première offensive de Chelsea, la charnière expérimentale Touré-Piqué n'a pu que s'avouer vaincu sur une inspiration géniale d'Essien. Le Ghanéen, sans calcul, plaçait une volée du gauche des 20 mètres sous la transversale de Victor Valdes (1-0, 9e). L'ouverture du score a permis aux hommes d'Hiddink de prendre le contrôle total de la partie. Et de s'offrir des balles de break. Mais Victor Valdes s'interposait in extremis devant Drogba (23e) avant de repousser d'une parade réflexe un coup-franc de l'Ivoirien (24e). Une troisième fois, l'attaquant de Chelsea a été en mesure de marquer mais, malgré un crochet sur Piqué, il butait à bout-portant sur le portier espagnol (52e).

Chelsea n'a jamais su faire fructifier ses nombreuses opportunités en contre-attaques pour tuer définitivement la partie, malgré l'explosivité du trident Malouda-Anelka-Drogba tout aussi généreux dans les tâches défensives. De son côté, le Barça s'est retrouvé dans la même problématique qu'au match aller, avec l'incapacité de se procurer la moindre occasion nette. En ce sens, Cech n'a pas eu le moindre arrêt à effectuer, sourcillant à peine sur un coup-franc de Dani Alves (21e) puis devant un slalom de Messi aboutissant à une frappe de l'Argentin de peu au-dessus de sa transversale (65e). Avec une organisation parfois déséquilibrée et une fâcheuse tendance à délaisser le côté gauche en l'absence d'Henry, Barcelone a vu sa tâche se compliquer davantage suite à l'expulsion sévère d'Abidal, considéré dernier défenseur après un léger accrochage sur Anelka (66e).


Néanmoins, la sortie discutable d'Abidal n'a pas été la seule erreur d'appréciation de M. Ovredo. L'arbitre norvégien aura laissé de mauvais souvenirs à Stamford Bridge en restant muet sur plusieurs obstructions dans la surface de Victor Valdes, pas toujours à juste titre. Tandis que les Londoniens se sont agacés de l'arbitrage, le Barça a eu le mérite de ne jamais perdre le fil du match. Jusqu'à ce qu'un décalage de Messi ne trouve Iniesta dont le missile à l'entrée de la surface trompait Cech (1-1, 90e+3). Le seul et unique tir cadré de Barcelone s'est donc révélé le bon, après 180 minutes passées à chercher une solution pour prendre à défaut l'arrière garde de Chelsea. Le 27 mai à Rome, les Blaugranas auront donc l'occasion de troubler la suprématie anglaise sur le football européen. Manchester United est prévenu. Et le rendez-vous est pris.

source: tf1



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