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Le saviez-vous!!!!

 Samuel Eto'o  a été élu par les socios meilleur "9" de l'histoire du club ( Fc Barcelone)

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8 mars 2006 3 08 /03 /mars /2006 20:19

A LIRE EGALEMENT

La Ligue des champions
L'analyse d'Angel Marcos
Barcelone - Chelsea : 1-1
Juventus - Werder Brême : 2-1
Villarreal - Glasgow Rangers : 1-1
Werder : Wiese n'en revient pas
Les matches de mercredi
Lyon : Juninho : «Une élimination possible»

A RETENIR
LES AUTRES MATCHES
Sortie par Liverpool la saison dernière, la JUVENTUS est passée près d'une nouvelle élimination surprise, mardi, sur la pelouse du WERDER BREME. Sans une énorme boulette du gardien remplaçant Tim Wiese, la "Vieille Dame" serait en train de ruminer un cinglant échec. Battue à l'aller (3-2), elle a été fragilisée d'entrée par une entrée en matière sans complexe des Allemands, matérialisée par un but précoce de Johan Micoud (14e). C'est un autre Français qui a permis à la Juventus d'égaliser à la 65e minute. David Trezeguet, titularisé aux côtés d'Ibrahimovic malgré les incertitudes sur les deux joueurs, profitait d'une belle entente avec Pavel Nedved pour inscrire son sixième but de la compétition (à égalité avec Ronaldinho, juste derrière Chevtchenko).

Le coup de théâtre est intervenu à la 89e minute quand Wiese, excellent jusque-là, relâchait loin de lui un ballon qu'il avait capté proprement deux secondes plus tôt. Emerson en profitait pour inscire le but de la victoire et libérer le club turinois. Le Werder souffre désormais pour son malheureux gardien. «Nous avons joué de l'avant comme promis et nous avons eu nos chances sur le terrain d'une grande équipe européenne comme la Juventus Turin, a déclaré l'entraîneur Thomas Schaaf. Finalement nous sommes amèrement punis sur une erreur. Auparavant Tim Wiese a fait des arrêts extraordinaires et maintenant il est totalement abattu dans les vestiaires».

Alors que la rencontre entre l'INTER MILAN et l'AJAX AMSTERDAM (2-2 à l'aller), a été reportée d'une semaine pour laisser San Siro au Milan AC cette semaine, VILLARREAL a confirmé la théorie selon laquelle il vaut mieux recevoir au retour. Pour avoir eu la bonne idée de marquer deux fois à l'extérieur face aux GLASGOW RANGERS (2-2), le club espagnol, tombeur de Lille en première phase, n'a pas eu besoin de gagner à la maison (1-1). Il accède aux quarts de finale de la Ligue des champions pour sa première participation.
LE BARÇA EST LE PLUS FORT
Par Cédric ROUQUETTE

Un nouveau coup de génie de Ronaldinho a permis au FC Barcelone de sortir Chelsea de la Ligue des champions, le club anglais n'égalisant qu'à la dernière seconde sur penalty (1-1). La Juventus a frôlé le pire contre le Werder Brême (2-1), qualifiée in extremis grâce à une erreur de Wiese. Villarreal passe contre les Rangers (1-1).

Chelsea dépassé en première période
Même si un dernier fait de match a voulu que Barcelone ne gagne pas son huitième de finale retour contre Chelsea (1-1), le club catalan a frappé un grand coup mardi, se posant sans doute comme le grand favori pour la suite de la compétition. Barcelone a fini par éliminer l'ogre anglais, qui restait sur deux demi-finales consécutives, grâce à une qualité technique effarante et une supériorité collective encore plus dense qu'à l'aller (2-1), au moins en première période. «Nous avions pêché par erreur de jeunesse la saison dernière, mais nous avons progressé tactiquement», relève Samuel Eto'o. L'image du match restera celle du but inscrit par Ronaldinho à la 79e minuite pour ouvrir le score. Après trois pas de course et de conduite de balle, le Brésilien effaçait Lampard, Ricardo Carvalho et Terry d'un seul crochet, avant de battre Cech d'une frappe sèche. Sur l'action, John Terry fut mis à terre au premier contact avec la star brésilienne. Tel un frêle plaqueur contre un Lomu des grands jours.

Chelsea a laissé passer sa chance en première période en se montrant incapable d'empêcher Barcelone de monopoliser le ballon. Dépassés par la conduite de ballon de Deco, les multiples talonnades de Ronaldinho et une très grande lucidité collective, les Anglais n'ont même pas profité de la sortie de Lionel Messi, leur bourreau de l'aller, dès la 24e minute (remplacé par Larsson), pour une contracture à la cuisse droite. Ils ne sont véritablement entrés dans le match qu'après la 58e minute, quand Drogba et Duff laissaient leur place à Crespo et Gudjohnsen. Chelsea a alors appuyé sur l'accélérateur, face à un Barça parfois tenté par la facilité, voire l'attentisme qui avait pollué sa première période à Stamford Bridge. Sa chance est passé à la 62e minute, quand Joe Cole livrait un centre parfait coupé par Crespo, juste à côté.

Le poteau d'Eto'o
Le but de Ronaldinho (79e) a récompensé le bruyant public catalan pour son soutien. Sa foi en l'équipe de Frank Rijkaard est totale, quatre ans après la dernière qualification du Barça pour un quart de finale de Ligue des champions, tournoi qu'il a remporté une seule fois (1992) pour une finale perdue (1994). Le triomphe aurait été total si le poteau gauche de Cech ne s'était pas opposé à une tentative excentrée de Samuel Eto'o à la 88e. A la toute fin du temps additionnel, Chelsea a défendu son honneur sur un penalty transformé par Lampard et provoqué par un tacle Van Bronkhorst. M. Merk siffla la fin du match dans la seconde suivante. L'épouvantail du tirage au sort de vendredi à Paris est tout trouvé. Roman Abramovitch, lui, patientera avant de voir ses rêves de grandeur exaucés à l'échelle continentale. Selon les calculs de la presse catalane, l'équipe de Barcelone a coûté trois fois moins cher que la richissime armada anglaise. Il reste à Chelsea la perspective du doublé Championnat - Cup pour entretenir son image de cuirasse impénétrable. Deux matches contre Barcelone l'ont sérieusement écornée.
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8 mars 2006 3 08 /03 /mars /2006 20:12
22/02/2006 10:36 Fan vs Fan : Chelsea-Barcelone C’est le sommet le plus attendu de cette reprise européenne ! Dans son antre de Stamford Bridge, Chelsea, champion d’Angleterre, accueille le FC Barcelone, champion d’Espagne. Un choc à ne manquer sous aucun prétexte...
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En attendant que leurs équipes respectives ne s’affrontent, Sébastien, fan des Blues et Anouar, supporter Blaugrana, se sont prêtés au jeu des questions-réponses pour leur plaisir et celui de nos très nombreux lecteurs fans de notre rubrique « Fan vs Fan ».

Goal.com : Pour commencer avez-vous un mot à dire à votre opposant du jour ?
Sébastien
(Chelsea) : Que le meilleur gagne. Et que le match soit à la hauteur de l'engouement qu'il procure. Come on Chelsea !
Anouar (Barcelone) : Premièrement : bonjour. Deuxièmement est-ce que vous avez déjà vu une avalanche bleue et grenat ? Vous allez galérer !

Comment appréhendez vous ce match et quelles en seront les clés selon vous ?
Sébastien
(Chelsea) : Je pense pour ce match aller que cela va être très serré. Chelsea va sûrement faire bloc en défense. La clé pour moi sera que la défense de Chelsea parvienne à dégoûter les attaquants Blaugrana.
Anouar (Barcelone) : Ce match sera très difficile et ce sera un match de revanche pour l'un, et une confirmation pour l'autre. Je pense que le Barça doit entrer avec force et détermination, autrement dit il faut qu'ils répondent présents physiquement.

Quel est le joueur de l’équipe d’adverse qui peut vous poser le plus de problèmes ?
Sébastien (Chelsea) : Sans aucun doute, Ronaldinho. S’il est dans un grand jour, il est pratiquement inarrêtable.
Anouar (Barcelone) : Makélélé, un vrai poison et Lampard aussi. C’est de ces deux-là qu’on se méfiera le plus pour les contre-attaques. Il y a aussi Robben et Drogba bien sûr.

Auriez-vous voulu l’avoir dans votre équipe ?
Sébastien
(Chelsea) : Qui ne veut pas de Ronaldinho ! Au delà de son immense talent, c'est son super état d'esprit que je salue. Le meilleur joueur du monde avec le meilleur entraîneur, un rêve.
Anouar (Barcelone) : Oui, avec Xavi et Deco, ça serait été un véritable mur ou mieux : la meilleure ligne défensive au monde.

Quel est le joueur de votre équipe à qui, selon vous, ils doivent faire extrêmement attention ?
Sébastien (Chelsea) : Contre tout attente, Didier Drogba. S’il arrive à asphyxier la défense de Barcelone c'est la porte ouverte au reste de l'équipe pour marquer.
Anouar (Barcelone) : Il y en a beaucoup : Eto'o et Ronnie, c’est des cracks de première classe, ils peuvent changer le cour du match a eux tous seuls, mais encore Messi et Deco.

Quelles sont les principales forces de votre équipe ?
Sébastien
(Chelsea) : Le bloc équipe : tout le monde attaque, tout le monde défend. Le banc très riche : on a 16 joueurs de niveau international. Notre tactique de jeu et Mourinho.
Anouar (Barcelone) : L'individualisme qui se met au service du collectif, avec un défenseur de classe mondiale comme Puyol, un milieu de rêve comme Deco ou Van Bommel et des joueurs en attaque qu'aucun club au monde ne possède.

Quelles en sont les faiblesses ?
Sébastien (Chelsea) : Une attaque récalcitrante. Elle peut mettre 4 buts comme être enrhumée et n’en mettre aucun. Et là le bloc peut se fendre.
Anouar (Barcelone) : Le manque de concentration (parfois) de la défense sauf pour Puyol.

Pouvez-vous décrire en quelques mots le jeu de l’équipe adverse ?
Sébastien (Chelsea) : Un beau jeu, de la technique et la vitesse, bref un beau spectacle pour les yeux. Sans oublier aussi une certaine solidité.
Anouar (Barcelone) : Physique, très rapide et parfois des séquences de jeu très techniques avec Robben et Drogba ou encore Gudjhonssen.

Qu’est-ce qui vous irrite le plus chez l’adversaire ?
Sébastien (Chelsea) : La paranoïa concernant la pelouse de Stamford Bridge m'agace. La pelouse gêne tout le monde. Pour les 22 joueurs le risque de blessures est le même.
Anouar (Barcelone) : L'arrogance de leur entraîneur : il est parmi les trois meilleurs au monde question compétence mais malheureusement aussi le meilleur question provocation.

Qu’est-ce que vous admirez le plus chez votre adversaire ?
Sébastien (Chelsea) : Tout simplement leur solidarité : ils se trouvent très bien sur le terrain.  Leur entente collective est édifiante.
Anouar (Barcelone) : La confiance des joueurs et la solidarité entre eux et aussi la relation qu'entretient Mourinho avec ses joueurs.

Quel souvenir gardez-vous des antécédents entre les deux équipes ?
Sébastien
(Chelsea) : Le match retour de l'année dernière. Un match d'anthologie.  Des buts, du beau jeu, du suspense, tout y était !
Anouar (Barcelone) : Un bon et un mauvais ; le bon c'était lors de la saison 1999-2000 ou le Barça a éliminé Chelsea en 1/4 de finale (un match de folie) avec un très grand Rivaldo.

Enfin, votre pronostic pour ce match ?
Sébastien
(Chelsea) : Si on les surprend en contre 1-0. Mais je pense qu'il y aura 0-0.
Anouar (Barcelone) :  Le score sera de 3-2 mais je ne sais pas pour quelle équipe (espérons pour le Barça). Todos sobre barca !!!

Propos recueillis par Naïm Beneddra

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8 mars 2006 3 08 /03 /mars /2006 20:11

Ce Barça a grandi...

Le 22/02/2006 22h29

Après une première période accrochée, essentiellement marquée par l'expulsion de Del Horno, le choc annoncé de ces huitièmes de finale de la Ligue des Champions entre Chelsea et Barcelone a pris une incroyable intensité en deuxième période. Si Chelsea a ouvert le score, les Catalans ont pris le contrôle du match pour s'imposer finalement 2-1, le but de la victoire étant signé Eto'o. Le Barça, avec un Messi de gala, prend une belle option pour les quarts avant le retour au Camp Nou.

Messi et Robben au coude à coude.
Messi et Robben au coude à coude.
Ronaldinho avait illuminé le choc d'il y a un an entre Chelsea et le Barça. Cette saison, le Ballon d'Or a dû partager la vedette avec le nouveau prodige catalan, Lionel Messi. Souvent comparé à Diego Maradona, le petit Argentin a fait étalage de tout son talent. Véritable poison, Messi a harcelé la défense de Chelsea pendant 90 minutes et a été un des grands artisans du spectacle proposé mercredi soir à Stamford Bridge en multipliant les actions de très grande classe.

Du très grand spectacle en effet pour une opposition entre les deux clubs qui est en passe de devenir un grand classique du football européen. Et pourtant, la tension, palpable depuis plusieurs jours avant le match, se vérifiait d'emblée sur le terrain où, dans un premier temps, l'opposition allait se limiter à un combat physique très intense. Un terrain, parlons-en, qui ne fait pas honneur à la réputation d'excellence du gazon anglais. Car la pelouse de Stamford Bridge, dont la piètre qualité avait été dénoncée par le FC Barcelone, est véritablement indigne d'un club du niveau de Chelsea et par conséquent d'un match de Ligue des Champions. On reconnaît néanmoins les grands vins à ce qu'ils peuvent être appréciés dans un verre en carton, les vingt-deux acteurs allaient ainsi s'employer à faire preuve de leur talent malgré des conditions difficiles. Les plaisirs les plus doux étant souvent ceux qu'il faut savoir attendre, le public aura dû d'abord assister à une première période âpre avant de se régaler.

Le match avait ainsi débuté par un long round d'observation. Si Messi était le premier à déclencher les hostilités sur une frappe cadrée mais facilement interceptée par Cech (3e), les joueurs se jaugeaient physiquement au milieu de terrain et le match, parti sur un faux rythme, avait des allures de bras de fer entre deux équipes aux conceptions tactiques différentes. Tandis que Frank Rijkaard, fidèle à son habitude, avait mis en place une équipe résolument penchée vers l'avant, José Mourinho avait choisi un schéma plus défensif avec pour consigne à ses joueurs de se montrer explosifs et d'exploiter la moindre faille. La possession de balle était barcelonaise mais les Blues pesaient sur la défense catalane et l'extraordinaire activité de Claude Makelele offrait de nombreuses récupérations de ballon à Chelsea au milieu de terrain.

Messi beaucoup !

La déception est cette fois pour Chelsea et Lampard.
La déception est cette fois pour Chelsea et Lampard.
Le Barça, moins mobile qu'à son habitude, avait des difficultés à appliquer son jeu de velours et fonctionnait par accélération successives. Ce sont néanmoins les Catalans qui se procuraient les meilleures situations. Par exemple quand Messi débordait sur son côté droit et centrait pour Samuel Eto'o. Le Camerounais, dos au but, laissait filer pour Ronaldinho qui ne pouvait pas armer sa frappe (19e). Un Ronaldinho qui se montrait encore plus dangereux à la réception d'un centre en retrait d'Oleguer avec une frappe à ras de terre laquelle faisait briller Petr Cech, auteur d'un splendide arrêt réflexe (23e). Jusque là, les deux formations avaient fait preuve d'une extrême prudence, ne se découvrant pas et préférant attendre la bonne ouverture pour accélérer, mais Barcelone pressait et Messi était particulièrement intenable. L'Argentin était ainsi victime d'un premier attentat de Del Horno à l'angle de la surface (32e). Une grosse faute sans conséquence directe mais dont l'arbitre, le Norvégien Terje Hauge, allait se souvenir quatre minutes plus tard quand, Messi, après avoir enrhumé Arjen Robben, se prenait un énorme tampon du même Del Horno qui n'échappait pas cette fois à la sanction : carton rouge.

A dix contre onze, c'est un autre match qui débutait alors mais Chelsea ne se laissait pas abattre. Tandis que Mourinho remplaçait immédiatement Cole par Geremi, histoire d'amener de la densité physique au milieu de terrain, Makelele compensait en se multipliant sur la pelouse. L'international français était partout et faisait plus que combler les brèches. Et de fait, après la pause, Chelsea repartait au combat revigoré avec la volonté de ne pas subir. Didier Drogba, entré à la place d'Hernan Crespo, apportait sa puissance et malgré la supériorité numérique, le Barça était ballotté. Coup sur coup, Robben (47e) puis Ferreira (51e) alertaient Valdes. L'accélération des Londoniens avait le mérite de débloquer le match et les deux équipes allaient dès lors se libérer. Sur un corner tiré en deux temps, Messi obligeait ainsi Cech à se coucher (52e), puis Motta tentait sa chance de loin mais ne trouvait pas le cadre (56e).

La mitrailleuse barcelonaise

Mais à l'heure de jeu, c'est Chelsea qui allait trouver l'ouverture. Un coup franc côté gauche tiré par Frank Lampard créait la panique dans la défense catalane. Sous la pression de John Terry, Valdès et Motta ne se comprenait pas et le milieu brésilien marquait contre son camp (1-0, 59e). Un but heureux très mal vécu par le Barça qui se révoltait immédiatement. Commençait alors une demi-heure de folie qui allait tenir en haleine le public qui assistait à un festival d'occasions et de mouvements d'école. Messi était dans tous les bons coups sur son aile droite. Un slalom de l'Argentin dans la surface avec un centre en retrait n'était pas récompensé (62e). Mais Chelsea répliquait et profitait néanmoins des espaces offerts par Oleguer, en position d'arrière droit, mis en grosse difficulté notamment par Robben.

Et Eto'o a offert la victoire au Barça !
Et Eto'o a offert la victoire au Barça !
Le Barça poussait. Ronaldinho déposait un premier coup franc sur la tête de Larsson, tout juste entré en jeu, qui mettait le ballon au-dessus (67e). Le deuxième, trois minutes plus tard, allait être le bon. La frappe de Ronaldinho était déviée par Terry, capitaine malchanceux, qui trompait son propre gardien (1-1, 71e). Une égalisation qui libérait les Blaugrana, à l'image, encore une fois de Messi, dont la frappe enroulée, sublime, s'écrasait sur l'angle de la cage de Cech, impuissant (72e). L'attaque barcelonaise passait alors sur le mode mitrailleuse quand Larsson se heurtait à Terry, dernier rempart de Chelsea sur sa ligne (74e). Puis une frappe tendue de Silvinho obligeait Cech à se détendre (75e). Dans la minute suivante, Ronaldinho décalait Messi, mais l'Argentin était muselé par un tacle de Carvalho qui sauvait son camp (76e). Dans la foulée Terry, toujours là, repoussait du bout du pied une nouvelle frappe de Ronaldinho (76e) avant de mettre un terme au calvaire de Chelsea d'une façon peu catholique, plaquant littéralement Messi en pleine surface. L'arbitre préférait fermer les yeux...

L'étau se resserrait sur la défense anglaise et le bien nommé Samuel Eto'o, jusque là effacé, allait se rappeler au bon souvenir de Chelsea qui lorgne sur le Camerounais et serait prêt, dit-on, à lui dérouler le tapis rouge. En attendant, c'est bien la "camiseta" qu'Eto'o a sur le dos. Et le meilleur joueur africain était à la conclusion d'une action d'école. Ronaldinho, profitant de la lassitude physique de plus en plus palpable des Blues, perçait dans l'axe et décalait Larsson côté gauche qui remisait pour Rafael Marquez. L'ancien Monégasque adressait alors un modèle de centre qu'Eto'o se faisait un plaisir de reprendre de la tête pour crucifier Cech (1-2, 80e). La résistance héroïque de Chelsea avait pris fin à l'issue d'une demi-heure extraordinaire du Barça qui a su forcer son destin. Les Barcelonais ont effacé de la plus belle des façons le douloureux souvenir de leur élimination la saison dernière et ce sont bien eux qui seront en position de force au retour, au Camp Nou.

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8 mars 2006 3 08 /03 /mars /2006 20:09

7 mars - Actualité - Ligue des Champions - FC Barcelone

 

 

Le Barça élimine Chelsea et se qualifie pour les quarts !!!

 

Le FC Barcelone s’est qualifié ce mardi soir pour les quarts de finale de la Ligue des Champions. Les Catalans ont anéanti les espoirs de Chelsea en les remballant au terme de deux rencontres aller-retour clôturées sur les scores de 1-2 et 1-1. Ce soir, Ronaldinho a été remarquable et a offert le but barcelonais.

La rencontre débuta sur un faux rythme. Les deux formations semblaient se chercher et il fallut attendre 10 minutes avant d'assister à la première frappe cadrée. Elle était signée Thiago Motta mais Peter Cech n’eu aucune difficulté.

Le Barça prit ensuite les choses en main. Véritable maître du ballon, Barcelone contrôlait parfaitement son adversaire, réduit à attendre la petite erreur technique pour récupérer le cuir. Au fil du temps, les Catalans devinrent plus francs devant la cage de Cech et les premières occasions ne se firent pas attendre. Avec le trio Messi - Ronaldinho - Eto’o, le Barça aurait pu tuer le match à plusieurs reprises.

Messi, blessé

La mauvaise nouvelle de la première période tomba à la 22ème minute lorsque Lionel Messi se blessa, victime d’une douleur au genou droit. Henrik Larsson monta alors pour le remplacer.

Le Barça poursuivit sa marche en avant. Les Barcelonais ne laissaient que peu de temps de jeu à leur adversaire. Chelsea ne profita quasiment d’aucun ballon fort dangereux et Victor Valdés, néanmoins très attentif, n’avait pas énormément de travail.

Première période tactique

Cette première période fut donc très tactique, vierge de but. Le premier quart d’heure en est une illustration parfaite puisque les deux équipes ont longtemps fait durer le round d'observation.

Pour la prestation du Barça, il n’y a rien à dire. Les Catalans ont été irréprochables dans tous les secteurs du jeu. Le coach néerlandais a très bien placé ses joueurs et Chelsea avait beaucoup de mal à trouver un joueur démarqué.

Même s’ils n’ont pas trouvé la faille devant la cage adverse, les hommes de Frank Rijkaard ont parfaitement su monopoliser le ballon. Une première mi-temps qui a passablement énervé José Mourinho, constamment excité sur le banc.

Ronaldinho ouvre le score

Le Barça continua sur sa lancée en seconde période. Toujours aussi bien positionnés, les Catalans géraient la rencontre et rien de semblait pouvoir les perturber, pas même les montées au jeu de Gudjohnsen et Crespo pour Duff et Drogba.

La soirée ne pouvait néanmoins pas être complète sans un but du Barça. Pour déclencher l’ouverture du score, il fallut donc appeler le meilleur joueur du monde : Ronaldinho Gaucho. A la 78ème minute, l’astre brésilien se débarrassa de trois défenseurs avant de décrocher une splendide frappe depuis l’entrée de la surface. Surpris, Peter Cech était battu et le Camp Nou bondit de joie.

Cinq minutes plus tard, Samuel Eto’o eut la possibilité de doubler la mise mais sa contre-attaque, pourtant très bien menée, se termina par une frappe qui trouva le montant gauche de Cech.

Alors que le match semblait aller vers une victoire catalane, l’arbitre de la rencontre en décida autrement en accordant un penalty pour une faute, quasiment inexistante, de Giovanni Van Bronckhorst dans la surface. Chelsea réduit donc le score à 1-1 grâce à Frank Lampard.

Mourinho n’a ce soir aucune excuse. Son Chelsea est éliminé et repart pour Londres sans mérite après une rencontre dépourvue de panache. Les joueurs anglais n’ont pas tenu leur rang et les Barcelonais n’en n’ont fait qu’une bouchée. 1-1, score final et le Barça se retrouve en quart de finale !!!

Ronaldinho, le plus fort du monde

Une des grande attractions de la soirée fut Ronaldinho Gaucho. Le crack azulgrana a en effet réalisé une prestation cinq étoiles en distillant des ballons de toute beauté. En première période, El Gaucho a tenté toutes sortes de gestes techniques et réussi un grands nombres de passes en talonnades. De plus, il a été l'auteur d'un but somptueux. "Il a marqué un superbe but qui nous a donné de la tranquillité", a expliqué Frank Rijkaard à la fin du match.

Deux matches à l’extérieur pour le Barça…

Le prochain match pour le Barça se disputera dimanche prochain face à Osasuna au stade Reyno de Navarra (21h00). Ce sera le premier des deux matches consécutifs que jouera l’équipe de Frank Rijkaard à l’extérieur. En effet, la semaine d’après se jouera à San Sebastian la rencontre entre la Real Sociedad et Barcelone.

Fiche technique

FC Barcelone: Valdés; Oleguer, Puyol, Márquez, Van Bronckhorst, Edmilson, Motta, Deco, Messi (Larsson, m.24), Ronaldinho et Eto'o.

Chelsea: Cech; Ferreira, Carvalho, Terry, Gallas, Joe Cole (Huth, m.83), Makelele, Lampard, Duff (Gudjohnsen, m.58), Robben et Drogba (Crespo, m.58).

Goals: 1-0, m. 79: Ronaldinho. 1-1, m.93: Lampard (penalty).

Arbitre: Markus Merk (All).

Stade: 98.436 personnes

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3 février 2006 5 03 /02 /février /2006 01:57

ETO'O d'OR



AIR Eto`OR !
 



Il a mûrit !
 



Prendre du plaisir en jouant ...Cameroun <> RDC
 



Cameroun <> RDC : Eto`o refuse de tuer son père Claude leroy.
 


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1 février 2006 3 01 /02 /février /2006 09:11
Cameroun - Sénégal : Trois amateurs complètent la liste
Cameroun - Sénégal : Trois amateurs complètent la liste
Joël Babanda de Racing de Bafoussam, Dupleix André Kamga de L’Union de Douala et Mathurin Kameni de Racing de Bafoussam, voici le trio qui quitte le Cameroun le 06 février prochain pour rejoindre les 20 joueurs professionnels pour le match amical du 09 février entre les Lions Indomptables du Cameroun et les Lions de la Teranga du Sénégal. Ces trois joueurs ont été retenus par Jules Frédéric Nyongha, le deuxième adjoint d’Artur Jorge qui supervise la préparation des A’ depuis près d’une semaine.

Après la rencontre amicale entre les Lions A’ et le Racing de Bafoussam, Jules Nyongha avait dit attendre encore quelques jours avant de dévoiler le nom des trois amateurs devant compléter le groupe en vue du match contre le Sénégal. Aujourd’hui c’est chose faite. Joël Babanda, le milieu de terrain de Racing a été l’un des artisans de la très belle saison du TPO au cours du 45ème championnat de première division, ce qui a valu au club de l’Ouest le titre de vice-champion du Cameroun. Annoncé dans Coton Sport et même dans l’Union de Douala, le milieu de terrain, Babanda, a renouvelé sa licence dans le Racing

Mathurin Kameni, meilleur gardien du Cameroun en 2000, alors qu’il était encore sociétaire de Kumbo Striker, une équipe du Nord-ouest aujourd’hui en deuxième division, a joué une finale de coupe africaine des clubs en 2003 dans la cage de Coton Sport. Il faisait partie des trois gardiens camerounais qui ont pris part à la coupe d’Afrique des nations en Tunisie en janvier 2004. La saison dernière, l’ex portier de Coton sport était sur tous les fronts avec son club, remportant avec brio le titre de champion du Cameroun, demi-finaliste de la coupe de la confédération et vainqueur de la coupe du Cameroun 2004. Une finale face à l’Union que Kameni, n’a pas jouée, le portier avait eu maille à partir avec les dirigeants de Coton Sport. Pour la nouvelle saison qui démarre dans les prochains jours, il vient de s’engager avec le Racing de Bafoussam. Ce retour en sélection fera certainement beaucoup de bien à Mathurin Kameni, qui avait le moral à zéro après tous les problèmes avec le président Pierre Kapténé de Coton Sport.

André Dupleix Kamga, le troisième joueur de cette liste a été élu meilleur joueur de la saison 2004 par l’Hebdomadaire ‘’Global Football’’, et de l’avis des observateurs de la scène footballistique Camerounaise, Dupleix est très en forme en ce moment. Après avoir fait ses classes dans l’Unisport de Bafang, c’est dans le Racing qu’il a confirmé tout le bien qu’on pense de lui. Pour la saison 2005, il a signé dans l’Union de Douala et prendra part avec les ‘’Nassaras’’ à la coupe des Confédérations. En attendant de savoir si Artur Jorge va effectivement leur donner leur chance le 09 février prochain, ces trois joueurs se disent prêts à relever ce défi.
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Posté le mercredi 02 février 2005 à 17:37
CAMEROUN - SENEGAL : LE MATCH COUTERA 53 MILLIONS F CFA A NOTRE PAYS
CAMEROUN - SENEGAL : LE MATCH COUTERA 53 MILLIONS F CFA A NO...
La Fédération sénégalaise de football devra se saigner à blanc pour couvrir tous les frais inhérents à l'organisation de la rencontre amicale face au Cameroun, prévue ce 09 février à Créteil. En effet pour ce match, il faudra près de 53 millions de francs pour que tout se passe dans les règles de l'art.

Entre les frais de regroupement, d'organisation..., la fédération devra payer le prix fort, seulement pour les beaux yeux du Cameroun ; même si ce match présente des enjeux sportifs certains.
Les primes sont en réalité la plus grosse charge de cette rencontre de Créteil car, elles engloutissent la somme globale de 25 millions. Des sources concordantes proches de la Fédération et du ministère ont révélé que la tutelle ne s'impliquera dans l'organisation de cette rencontre mais se contentera d'encadrer.

C'est dire que l'agent marketing devra faire des pieds et des mains pour boucler ce budget colossal. D'ailleurs, tous les espoirs reposent désormais sur les épaules de Pamodzi. «Nous n'avons jamais eu de déficit quand l'agent marketing est impliqué dans la gestion des rencontres amicales» a soutenu Mbaye Ndoye le chargé des compétitions internationales.

Les frais d'organisation, de transport et d'hébergement sont estimés à près de 28 millions de francs Cfa. Toutefois, nous dit-on, le match a été mal négocié du côté de la Fédération. Car le Cameroun a tiré toute la couverture de son côté. Mais le peuple lui, attend seulement de tenir sa revanche sur les «Lions Indomptables».
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Posté le mercredi 02 février 2005 à 17:19
Modifié le jeudi 03 février 2005 à 19:14
LES 20 PROFESSIONNELS DE CAMEROUN Vs SENEGAL
LES 20 PROFESSIONNELS DE CAMEROUN Vs SENEGAL
Artur Jorge, le nouvel entraîneur sélectionneur des Lions Indomptables, a rendu public une liste de 20 joueurs professionnels convoqués pour le match amical Cameroun contre Sénégal du 09 février prochain au Stade Dominique Duvauchelle à Créteil (France). Cette liste sera complétée par trois joueurs locaux qui seront sélectionnés parmi les joueurs de l'équipe nationale A' du Cameroun qui est entrée en stage le 24 janvier dernier pour préparer la Coupe de la CEMAC (Communauté Economique et Monétaire de l'Afrique Centrale).

Liste des joueurs convoqués

1. IDRISS CARLOS KAMENI (ESPANYOL DE BARCELONE, ESPAGNE)
2. HAMIDOU SOULEYMANOU (DENIZLISPOR, TURQUIE)
3. BILL TCHATO (KAISERSLAUTERN, ALLEMAGNE)
4. THIMOTHEE ATOUBA (TOTTENHAM, ANGLETERRE)
5. RIGOBERT SONG (GALATASARAY, TURQUIE)
6. ERIC MATOUKOU (RACING GENK, BELGIQUE)
7. LUCIEN METTOMO (KAISERSLAUTERN, ALLEMAGNE)
8. BENOIT ANGBWA (LILLE OSC, FRANCE)
9. JEAN-JOËL PERRIER DOUBE (RENNES, FRANCE)
10. GEREMI FOTSO NJITAP (CHELSEA, ANGLETERRE)
11. JEAN II MAKOUN (LILLE OSC, FRANCE)
12. ERIC DJEMBA DJEMBA (ASTON VILLA)
13. SALOMON OLEMBE (OLYMPIQUE DE MARSEILLE, FRANCE)
14. ACHILLE EMANA (TOULOUSE, FRANCE)
15. SAMUEL ETO'O FILS (FC BACELONE, ESPAGNE)
16. JOSEPH DESIRE JOB (MIDDLESBROUGH, ANGLETERRE)
17. PIERRE BOYA (PARTIZAN BELGRADE, SERBIE)
18. ACHILLE WEBO (OSASUNA, ESPAGNE)
19. PIUS NDIEFI (AL ITTIHAD, QATAR)
20. CHRISTIAN TCHUISSE (FK MOSCOU, RUSSIE)

L'on peut noter l'arrivée de deux nouveaux joueurs au sein des Lions Indomptables Seniors (Eric Matoukou et Benoît Angbwa). Trois autres joueurs signent leur retour (Emana, Webo et Olembe).
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Posté le mercredi 02 février 2005 à 17:15
Modifié le mercredi 02 février 2005 à 17:30
MATCH AMICAL SENEGAL # CAMEROUN DU 09 FEVRIER
MATCH AMICAL SENEGAL # CAMEROUN DU 09 FEVRIER
L'adversaire : les "Lions indomptables" Eto'o force 16 à la pointe d'une grosse machine

Entre la finale de la Can 2002 au Mali et le match amical du 9 février prochain, beaucoup d'eau a coulé sous les ponts entre les "Lions" de la téranga et "indomptables". L'entraîneur national n'a pas manqué de témoigner : "Il y a eu des changements d'un côté comme de l'autre. Les équipes ont changé, même si on retrouve certains joueurs". Mais au niveau de chaque camp, l'envie et la détermination restent et demeurent. Clin d'œil à ceux qui pensent que le faux-départ des "Lions indomptables" douchera leur gnak. "Les Camerounais ont beaucoup de forces dans leur jeu, beaucoup de puissance et de détermination. Ils ont aussi du talent. Quand on a un joueur comme Eto'o dans son groupe, qui est le meilleur buteur du championnat espagnol avec 16 buts, c'est évidemment un plus pour le Cameroun", dixit Guy Stephan qui ne perd pas de vue l'importance de ce match et ce qu'il représente pour les Sénégalais qui ruminent jusqu'à présent leur revanche après la finale perdue aux tirs au but lors de la Can 2002 au Mali.
Dans tous les cas, constate l'entraîneur national, "Un Sénégal-Cameroun ne peut être un match ordinaire. C'est un match important et intéressant à la fois avec tout ce qu'il représente comme rivalité, comme rapport de force entre deux équipes qui voudront gagner". Dans cette optique, Guy Stephan qui souhaite "rester sur (la) dynamique (de victoire de son équipe)", compte rester fidèle à sa stratégie gagnante. "On jouera dans la même configuration que lors de nos trois derniers matches. C'est-à-dire une équipe avec de bonnes fondations, costaud sur le plan défensif, capable d'animer le jeu sur le plan offensif', selon Stephan. "Avec quatre défenseurs, des milieux qui ont pour tâche de bien défendre et de bien relancer. D'autres milieux qui sont plus aptes à faire de l'animation, et des attaquants qui vont vite. Un schéma cohérent, qui nous a bien réussi lors des 3 derniers matches où on a inscrit 7 buts", selon le décompte de l'entraîneur des "Lions".

H. DIANDY
Source : walf.sn
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Posté le mercredi 02 février 2005 à 17:06
ETO'O NE SAIT RIEN DE MADRID ET NE PENSE PAS Y RETOURNER
ETO'O NE SAIT RIEN DE MADRID ET NE PENSE PAS Y RETOURNER
"Le Real Madrid ne m'a pas appelé, et s'il le faisait ils connaîssent déjà la réponse : Non. Je suis assez heureux au Barça et la seule chose à laquelle je pense c'est de rester à Barcelone ". Samuel Eto'o n'a laissé aucun écart pour les doutes et a arrêté ainsi les bruits qu'a déliés un journal catalan autour de son possible retour au Real Madrid.

Interviewé dans le programme Premier contact, d'Onde Zéro, c'est ainsi que le goleador a ainsi dessiné son histoire avec Madrid : "On a parfois une femme très belle et on ne se rend pas compte jusqu'à ce qu'elle s'en aille. C'est ce qui s'est passé à Madrid avec moi ".

"Dans la vie il y a des choses plus importantes que l'argent. Dans toute équipe, si tu joues bien, tu peux gagner. Je ne me déplace pas pour de l'argent, parce que quand je regarde en arrière je vois ce qu'il y avait et ce que j'ai aujourd'hui, et je me dis que pour mille EURO je ne vais pas changer ma vie. Je ne vais pas aller en Angleterre, je meurs de froid ", a dit Eto'o

Traduit par joelneo
Source : As
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1 février 2006 3 01 /02 /février /2006 09:10
EDMILSON ET MOTTA ENSEMBLE DE RETOUR A BARCELONE
EDMILSON ET MOTTA ENSEMBLE DE RETOUR A BARCELONE
Edmílson et Thiago Motta reviendront à Barcelone le 07 février pour continuer sur la route au rétablissement après avoir subi une certaine réadaptation au Brésil

Les deux milieux de terrains sont maintenant dans la deuxième phase de leur récupération des fractures de ligament du genou au centre de la réadaptation de Fc Sao Paulo au Brésil.

La situation actuelle
Selon l'équipe médicale de Barcelone, Motta a maintenant la pleine mobilité dans son genou et a commencé à subir les exercices et continuera un programme musculaire de renforcement.
Le rétablissement d'Edmílson va également bien et il a maintenant terminé ses travaux aérobiques dans la piscine et a également commencé à courir.

De nouveau à Barcelone.
L'entraîneur Paco Seirul·lo surveillera le rétablissement d'Edmílson et de Motta à Barcelone, ainsi que les physiothérapeutes du club Francesc Cos et Juanjo Brau. Ces deux spécialistes ont travaillé avec les jeunes équipes du club et ont été temporairement introduit en équipe première pour favoriser le rétablissement des deux Brésiliens.

Traduit par joelneo
Soource : fcbarcelona
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Posté le mercredi 02 février 2005 à 10:34
Le Real Madrid, ultime adversaire du Barça !
Le Real Madrid, ultime adversaire du Barça !
Nous venons d'entamer le mois de février et le Barça est toujours leader. Aucun faux pas depuis la fin août. Les Catalans se portent bien et, d'ici moins de quatre mois (!), la messe sera dite. La Liga 2004-05 sera jouée. Voilà pourquoi ce dernier bout de chemin avant le terme doit être pris au sérieux, très au sérieux.

L'euphorie nous emporte, et c'est tant mieux. Le retour en avion à Barcelone après la rencontre face à Séville a été une fête et le peuple catalan tout comme nous autres, supporters, tentons de profiter au maximum de ces moments uniques et magiques. Le Barça est leader avec un avantage conséquent sur son ennemi de toujours, le Real Madrid.

A quatre mois de la fin de cette saison - le dernier match du championnat se jouera le 29 mai contre les Basques de la Real Sociedad -, il est grand temps pour les blaugranas de se trouver un ultime rival pour terminer en beauté cette Liga. Tout désigné, le Real Madrid est aujourd'hui second avec quelques bons points d'avance sur le FC Valence. C'est donc à eux qu'il faudra faire attention. Sept points séparent les madrilènes des barcelonais.

Longtemps dangereux, le FC Valence semble avoir définitivement perdu tout espoir de remonter à la surface. Avec déjà quatorze points de retard, l'équipe valencien n'est plus le concurrent direct du Barça.

C'est donc sur le Real Madrid que tous les efforts doivent être concentrés. Les galactiques semblent remonter doucement la pente depuis l'arrive de Wanderlei Luxemburgo, mais ce n'est sans doute pas suffisant. Les résultats sont là, mais pas le jeu. Il faudra savoir en profiter en temps voulu. Ne pas perdre de point pour tenter de remporter ce championnat le plus vite possible. Selon les statistiques, le Barça pourrait être champion à la mi-avril.
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Posté le mercredi 02 février 2005 à 09:23
Eto'o « Je travaille comme un noir pour vivre comme un blanc»
Eto'o « Je travaille comme un noir pour vivre comme un blanc»
[ Barcelone - Espagne ] ( 31/01/2005) Paco AGUILAR

Idole au Barça, Samuel Eto'o, malgré sa nonchalance et son côté espiègle, n'a plus rien aujourd'hui du gamin sans le sou débarqué de son Cameroun natal. Riche, il peut s'adonner aux plaisirs qui sont les siens : les grosses cylindrées, les habits de valeur et les jolies filles, même si, depuis son arrivée à Barcelone, il se montre plus assagi que pendant son long séjour aux Îles Baléares.

Faute d'avoir suffisamment fréquenté les passages à niveau, Florentino Pérez, le tout-puissant président du Real Madrid, n'a pas retenu cet avertissement connu de tous les automobilistes au moment de traverser une voie ferrée. L'été dernier, Pérez se vantait d'avoir payé un Ballon d'Or France Football, l'Anglais Michael Owen (de Liverpool), avec l'argent rapporté par la vente de Samuel Eto'o, dont le Real partageait les droits contractuels avec Majorque. Mais ce qui paraissait un assez joli coup il y a six mois, est devenu aujourd'hui un sujet de plaisanterie, y compris dans la presse la plus favorable au club madrilène.

Ainsi, le 28 décembre dernier, jour des Saints-Innocents, l'équivalent en Espagne de notre poisson d'avril, le journal As faisait ses gros titres en annonçant qu'Arrigo Sacchi, le nouveau directeur du foot au Real Madrid, voulait construire une équipe autour de... Samuel Eto'o. Et le quotidien sportif madrilène de préciser que, pour réparer l'erreur de l'avoir laissé partir, Florentino Pérez serait prêt à débourser les 150 M€ prévus dans sa clause libératoire !

La ficelle était grosse, mais elle a fait du bruit à Madrid, où le transfert de Samuel Eto'o au FC Barcelone est considéré comme l'un des plus gros ratés de l'ère Florentin Pérez. Le Barça l'a pourtant payé plus cher que prévu : 24 M€ en quatre échéances - ce qui, avec les intérêts, monte l'opération à 27 M€ -, que se sont partagés Majorque et le Real, mais l'investissement est déjà rentable : quinze buts en vingt matches de Championnat et trois en cinq rencontres de Ligue des champions. Outre le fait de posséder le meilleur buteur de la première partie de la Liga, le club catalan a trouvé en Eto'o un joueur extrê¬mement populaire, que seul le Brésilien Ronaldinho parvient à devancer sur ce terrain.

UN SYMBOLE ANTI-REAL

Mais le Camerounais est également un symbole de la revanche des Catalans sur les Madrilènes. A Barcelone, on n'a pas oublié le traumatisme provoqué par le départ, en juillet 2000, du Portugais Figo chez l'ennemi. Samuel Eto'o les a enfin vengés. D'autant que le joueur semble toujours disposé à lancer des piques vers le club qui, après l'avoir fait venir en Europe, ne lui a jamais offert sa chance. Il faut remonter aux temps du Bulgare Hristo Stoitchkov pour retrouver un joueur barcelonais si farouchement « antimadridiste ! »

Pour son premier match contre le Real sous les couleurs blaugrana, le 20 novembre dernier, c'est lui qui avait ouvert le chemin de la victoire (3-0) au Barça avec un but qui mit en évidence son exceptionnelle vitesse d'exécution. Quelques jours plus tard, visitant - comme il le fait souvent - une école barcelonaise, il confiait au millier d'élèves qui le contemplait avec vénération que « ce but avait été un des plus beaux moments de ma vie » . « J'ai alors eu envie de courir jusqu'à mon pays pour embrasser tout le monde ». Des mots simples et émouvants pour un garçon de vingt-trois ans, qui participe tout de même à sa huitième saison en Espagne.

La vie de Samuel Eto'o a beaucoup changé depuis ce jour de 1997 où, âgé de seize ans, il débarqua à l'aéroport madrilène de Barajas pour jouer au Real Madrid. Sans un sou en poche, sans aucun représentant du club pour l'attendre, il gagna le siège du Real en bus grâce à la bienveillance d'un « frère (un homme noir). Ce qui aurait pu être le début d'une formidable histoire d'amour entre l'adolescent noir et le club blanc n'a pourtant débouché que sur un gigantesque malentendu. La maison blanche n'a été qu'un lieu de passage pour Samuel Eto'o, prêté d';abord au FC Levante, le deuxième club de Valence, alors en Deuxième Division, puis à l'Espanyol Barcelone et, enfin, au Real Majorque, où il est devenu, en cinq saisons, le plus grand buteur de l'histoire du club.

Une errance qui l'a conduit à haïr progressivement le Real Madrid, livrant toujours de grands matches contre lui, surtout au stade Santiago Bernabeu. C'est donc sans surprise que, l'été dernier, il laissa clairement entendre qu'il ne souhaitait pas y retourner, affichant son envie de porter le maillot blaugrana.

« JE TRAVAILLE COMME UN NOIR POUR VIVRE COMME UN BLANC »

Même si cela aurait suffi à lui garantir une large popularité du côté du Camp Nou, Samuel Eto'o ne s'en contenta pas. Confirmant sa réputation d'enfant prodige - il n'avait que dix-sept ans et trois mois pour ses débuts au Mondial 98 -, il marqua dès la première journée de la Liga des buts souvent déterminants, puisqu'ils ont offert au Barça la bagatelle de 28 points. Son adapta¬tion extrêmement rapide a étonné beaucoup de monde, mais pas celui qui fut son dernier entraineur à Majorque, Luis Aragones, l'actuel sélec¬tionneur espagnol : « Si Eto'o avait réussi dans un petit club comme Majorque, il était clair que, dans une équipe aussi équilibrée et riche que le Barça, il ne pouvait que progresser ». Des propos d'autant plus appréciés qu'ils proviennent d'un homme récemment accusé de racisme pour ses propos insultants à l'encontre de Thierry Henry. Notons que, sans l'excuser, Eto'o a pris la défense de celui qu'il appelle « Grand-Père ».

Idole au Barça, Samuel Eto'o, malgré sa nonchalance et son côté espiègle, n'a plus rien aujourd'hui du gamin sans le sou débarqué de son Cameroun natal. Riche, il peut s'adonner aux plaisirs qui sont les siens : les grosses cylindrées, les habits de valeur et les jolies filles, même si, depuis son arrivée à Barcelone, il se montre plus assagi que pendant son long séjour aux Îles Baléares. Des goûts de luxe - « Je travaille comme un Noir pour pouvoir vivre comme un Blanc » - qui n'ont pas asséché son coeur, comme le prouvent la disponibilité, qu'il partage avec Ronaldinho, envers les enfants et ses innombrables largesses en faveur de sa famille et de ses amis camerounais. Ses nouveaux rêves passent par la conquête de nombreux titres avec le Barça et... par la volonté de continuer à faire souffrir le Real Madrid !

Autant dire que Florentine Pérez n'a pas fini d'entendre parler de lui, en attendant le 10 avril et le déplacement du Barça à Bernabeu, terrain qu'il affectionne particulièrement. Nul doute que le président madrilène regardera désormais à deux fois. Une star peut en cacher une autre.

© 2004 Correspondance PACO AGUILAR
Source : icicemac

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Posté le lundi 31 janvier 2005 à 22:00
Modifié le mardi 01 février 2005 à 19:23
LIGA 21ème Journée : Le Real Madrid ne lâche pas le BARCA
LIGA 21ème Journée : Le Real Madrid ne lâche pas le BARCA
Si le Barça prend de la vitesse, le Real n'est pas décidé à se laisser décrocher. Les Madrilènes sont allés s'imposer dimanche sur le terrain de Numancia (2-1). Samedi, une entame de deuxième mi-temps exceptionnelle avait permis au FC Barcelone d'aller étriller le FC Séville chez lui (4-0). Les Catalans comptent toujours sept points d'avance sur le Real. Valence a fermé la journée devant Bilbao (2-2).

Dimanche

Le Real Madrid à réussi à faire ce que les quatre dernières équipes venues rendre visite à Numancia n'étaient pas parvenues à réaliser : s'imposer. Vainqueurs 2-1, les Madrilènes, n'avaient, il est vrai, pas le choix puisqu'ils avaient été repoussés à dix points - dans les cordes donc - par le leader barcelonais 24 heures auparavant. Les voilà vite revenus à sept points, mais ce ne fut pas simple pour autant. Au stade Los Parajitos, les deux formations se sont longtemps neutralisées avant que David Beckham ne parvienne à ouvrir la marque après l'heure de jeu sur coup franc (63e). L'autre Anglais de l'équipe, Michael Owen, a ensuite offert une passe décisive au défenseur Michel Salgado, monté en position d'avant-centre (83e). Miguel Lopez a enfin réduit le score de la tête (85e), Numancia bousculant en vain le Real en fin de rencontre.

Un peu plus tôt, deux équipes toujours en course pour une place en Ligue des champions, l'Espanyol Barcelone et le Bétis Séville, n'avaient pas réussi à se départager au Stade Olympique (1-1). Une belle performance pour les Andalous lorsqu'on sait que les Catalans avaient gagné quatre fois de suite à domicile depuis un nul face à Villarreal le 31 octobre (0-0). Ce n'est pourtant pas faute d'avoir essayé pour les Barcelonais, qui menaient à la mi-temps (1-0) et ont repris l'avantage sur penalty en fin de rencontre (2-1, 81e) sans parvenir à conserver leur avantage. Le Betis met fin, de son côté, à une série de trois défaites consécutives à l'extérieur.

Le dernier acte de cette 21e journée se déroulait à Valence. Les hommes de Claudio Ranieri ont dû se contenter du partage des points face à l'Athletic Bilbao (2-2). Les Valencians, qui restaient sur une défaite à Villarreal (1-3) lors de la journée précédente, laissent échapper deux nouveaux points et du même coup leurs dernières chances de disputer encore le titre. Ce point pris est pourtant un moindre mal puisque Valence a remonté un handicap de deux buts face aux Basques. Il n'en demeure pas moins très loin du FC Barcelone, qui compte quatorze longueurs d'avance.


A RETENIR
LES MATCHES

Atletico Madrid - Albacete : 3-1
FC Séville - FC Barcelone : 0-4
Espanyol Barcelone - Betis Séville : 2-2
Real Sociedad - Villarreal CF : 0-4
Osasuna - Deportivo La Corogne : 1-1
Real Saragosse - Malaga : 1-0
Racing Santander - Levante : 2-2
Real Majorque - Getafe : 3-1
Numancia - Real Madrid : 1-2
Valence CF - Athletic Bilbao : 2-2


LE CLASSEMENT
1. FC Barcelone, 51 (29)
2. Real Madrid, 44 (21)
3. Valence CF, 37 (14)
4. Espanyol Barcelone, 35 (6)
5. FC Seville, 35 (0)
6. Villarreal CF, 34 (18)
7. Betis Séville, 34 (7)
8. Athletic Bilbao, 30 (5)
9. Atletico Madrid, 29 (2)
10. Osasuna, 29 (-2)
11. Deportivo La Corogne, 28 (0)
12. Real Saragosse, 28 (-5)
13. Levante, 25 (-8)
14. Getafe, 23 (-4)
15. Real Sociedad, 22 (-7)
16. Racing Santander, 21 (-12)
17. Malaga, 21 (-15)
18. Albacete, 20 (-11)
19. Real Majorque, 17 (-15)
20. Numancia, 14 (-23)
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Posté le lundi 31 janvier 2005 à 16:30
Modifié le lundi 31 janvier 2005 à 16:36
LIGA 21EME Journée : BARCELONE TROP PUISSANT
LIGA 21EME Journée : BARCELONE TROP PUISSANT
Dimanche 30/01/05 :
Une entame de deuxième mi-temps exceptionnelle a permis au FC Barcelone d'aller étriller le FC Séville chez lui, samedi en match avancé (4-0). Plus leader que jamais, le Barça a 10 points d'avance sur le Real Madrid qui joue à Numancia dimanche soir (19 heures). Valence fermera la journée devant Bilbao (21 heures).

Le FC Barcelone, dont le bilan cette saison se passe de commentaire (17 victoires et 3 nuls en 22 matches), a réalisé samedi sa victoire à l'extérieur la plus large de la saison (4-0). Même pour un leader de cette trempe, le mot d'exploit paraît adapté, puisque le Barça a tout simplement maté le FC Séville, toujours en course pour la Ligue des champions, invaincu à domicile cette saison. Sa troisième victoire consécutive, Barcelone l'a construite au retour des vestiaires. Au cours de la première période, le FC Séville a su soutenir la comparaison face au leader et aurait pu bénéficier d'un penalty pour une main de Belletti dans la surface non sifflée. Mais il n'a rien pu faire dans le deuxième acte face aux accélérations de Ronaldinho, Eto'o ou encore Giuly.

Le Barça, qui avait accusé le coup à Villarreal (0-3) lors de la 18e journée puis gagné péniblement à domicile devant la Real Sociedad (1-0), a retrouvé le monstrueux volume qui semble lui promettre la lune pour la fin de la saison. Les Catalans ont fait la différence en un peu plus de vingt minutes en seconde période. Après un service impeccable de Ronaldinho, Eto'o effaçait le gardien et marquait malgré le retour de deux défenseurs sévillans (49e). Seizième but de la saison pour l'attaquant camerounais, toujours meilleur buteur. A la 56e, le meilleur buteur du FC Séville, Julio Baptista (8 buts cette saison), trompait son propre gardien Esteban, d'une tête imparable au premier poteau après un corner de Xavi. Trois minutes plus tard, Ronaldinho trompait Esteban d'un plat du pied sur un centre d'Eto'o et après une première tentative de Giuly. C'est le deuxième but du Brésilien dans le jeu cette saison. Giuly achevait le calvaire sévillan à la 73e minute d'une frappe croisée du droit après un service de Xavi. Albertini se souviendra de ses débuts sous son nouveau maillot, en deuxième période.

Un peu plus tôt dans la soirée, l'Atletico Madrid, qui n'avait plus connu la victoire depuis la 16e journée, s'est rassuré en dominant à domicile Albacete (3-1).


Suite de cette 22ème journée ce soir dont voici les différentes combinaisions :
Espanyol Barcelone - Betis Séville (17h)
Real Sociedad - Villarreal CF
Osasuna - Deportivo La Corogne
Real Saragosse - Malaga
Racing Santander - Levante
Real Majorque - Getafe
Numancia - Real Madrid (19h)
Valence CF - Athletic Bilbao (21h)


LE CLASSEMENT, 20 matches sauf mention
1. FC Barcelone, 51 (+29), 21 matches
2. Real Madrid, 41 (+20)
3. Valence CF, 36 (+14)
4. FC Seville, 35 (0), 21 m.
5. Espanyol Barcelone, 34 (+6)
6. Betis Séville, 33 (+7)
7. Villarreal CF, 31 (+14)
8. Athletic Bilbao, 29 (+5), 21 m.
9. Atletico Madrid, 29 (+2)
10. Osasuna, 28 (-2)
11. Deportivo La Corogne, 27 (0)
12. Real Saragosse, 25 (-6)
13. Levante, 24 (-8)
14. Getafe, 23 (-2)
15. Real Sociedad, 22 (-3)
16. Malaga, 21 (-14)
17. Albacete, 20 (-11), 21 m.
18. Racing Santander, 20 (-12)
19. Real Majorque, 14 (-17)
20. Numancia, 14 (-22)
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31 janvier 2006 2 31 /01 /janvier /2006 10:47

La CAN2006 en Images

La une du journal Mundo Deportivo de ce 22/01/2005

La une du journal Mundo Deportivo de ce 22/01/2005

Samuel Eto'o faisant la Une du quotidien espagnol pro barcelonais Mundo Deportivo de ce dimanche matin . EN image, le goleador célebrant son troisième but qui est survenu sur un boulet depuis les 20 mètres de la surface. Merci Monsieur Eto'o !

 
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30 janvier 2006 1 30 /01 /janvier /2006 14:41
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30 janvier 2006 1 30 /01 /janvier /2006 14:27

Eto'o - Barcelone: Accord Parfait


Click to jump to 'La Nouvelle Expression'Le 13 Aout 2004
© Martin Camus MIMB, La Nouvelle Expression

Un contrat de 25 millions d’euros (plus de 16 milliards de francs Cfa) qui vient mettre fin à un feuilleton à plusieurs rebondissements animé par le Real de Madrid, Majorque et le club catalan.
 
“Eto’o fichado ! Eto’o ya es del Barça ”. Ces mots ont été prononcés avec une indicible récurrence hier dans les médias espagnols et les rues de Barcelone. Traduction: “ Eto’o transféré ! Eto’o est enfin au Barça !". C’est aussi un ouf de soulagement pour un feuilleton qui n’a que trop duré.

En ouverture de la saison des transferts et même un peu plus avant, Samuel Eto’o donne le ton lorsqu’il déclare que son ambition est de “ jouer dans un grand club d’Europe cette saison. ”. En le déclarant, il manifeste non sa déception après l’échec des transferts les années précédentes vers la Juventus de Turin, Arsenal, Lyon, Chelsea et les autres grands d’Europe qui étaient à ses pieds. Mais c’était aussi un avertissement réel contre le Réal de Madrid et Majorque qui détenaient jusque-là des droits du joueur. A peine le goléador camerounais avait-il exprimé cette envie que le concert des sollicitations était lancé.

Sur la ligne de départ, le Fc Barcelone, Valence, L’Athlético de Madrid, Marseille, Monaco et même le Réal de Madrid qui jouait les trouble-fête et accentuait la diversion. Ce qui deviendra par la suite le feuilleton de l’été part du moment où le Réal de Madrid pose une condition très incongrue pour la libération de Samuel Eto’o. Le club de Florentino Pérez déclare en effet qu’il ne saurait transférer Eto’o dans un club concurrent au Réal de Madrid. Mieux, le club madrilène propose de prêter le ballon d’or africain à l’Athlético de Madrid avec option de ne pas jouer les matches qui opposent l’équipe au Réal de Madrid.

A défaut, le Réal Madrid propose à Samuel Eto’o de le prêter pour une saison supplémentaire à Majorque. Dans cette optique, le Réal de Madrid entend écarter le Fc Barcelone de toutes les négociations. Le club catalan abandonne la bataille presque, ce qui permet à l’Olympique de Marseille de mieux se positionner en faisant même des offres de près de 20 millions d’euros. Seulement, Samuel Eto’o préfère la catalogne à la Canebière. Ce qui va davantage compliquer les négociations face à un Réal de Madrid frileux à l’idée d’offrir au Barça, sa propre arme de destruction.

Un joueur du futur. Mais le club madrilène durcit davantage le ton et pour contourner l’obstacle “ Barça ”, se proposant de racheter les autres 50% revenant à Majorque. Cette option non plus est loin d’arranger Samuel Eto’o puisque le Réal de Madrid, par la même occasion et par le biais de Valdano, son directeur sportif, déclare qu’avec trois attaquants déjà dans son effectif “ Eto’o est un joueur du futur" En clair sa titularisation chez les galactiques était très peu probable. Ce qui permet à l’ex pensionnaire de la Ksa de manifester avec forc, son intérêt à évoluer avec le Barça. Mais Marseille ne désarme pas et le club phocéen fait une proposition de 28 millions d’euros, devançant ainsi le FC Barcelone qui revient en scène avec 24 millions d’euros. Majorque qui hésitait à libérer Eto’o trouve l’offre du Barça alléchante est donne son accord. Mais il fallait une deuxième signature, celle du Réal de Madrid pour que le transfert soit effectif. Réal ne cède pas et Samuel Eto’o, en vacances en Côte d’Ivoire, menace de porter plainte.

C’est à ce moment que le Barça accentue la pression et Ronaldhino, le meneur de jeu catalan, en congé au Brésil, met davantage le feu aux poudres en affirmant que l’arrivée de Eto’o au Barça serait la meilleure opération de l’année pour le club, avant de conclure que Eto’o est un joueur intelligent et rapide. Sept jours sont donnés au Réal pour se prononcer. Le délai ayant expiré mardi dernier, Laporta, le président du Barça, déclare Eto’o barcelonais, mais Perez du Réal demande trois jours supplémentaires pour étudier le dossier. Un délai qui devait en principe expiré ce vendredi. Mais, coup de théâtre. Dans la soirée de mardi, le FC Barcelonne et le Réal de Madrid tombent d’accord sur le transfert de l’enfant prodige de New Bell. Le club catalan récupère les 50% des droits du joueur détenus par l'équipe madrilène, et reprend à son compte les 3 millions d'euros (près de 2 milliards F Cfa) que Majorque devait au Camerounais. D'après, le journal espagnol As, le salaire brut par saison du goleador s'élèvera à deux milliards environ de francs Cfa, sans compter le primes par but marqué, nombre de matches joués et titres gagnés.

Eto’o élimine Saviola et Anelka. Le Fc Barcelone, depuis quelques temps à la chasse d’un attaquant de race, était outre les traces de Samuel Eto’o, sur celles de Nicolas Anelka pour pallier un éventuel échec de transfert. Après l’officialisation du contrat hier, Laporta a clairement affirmé que cette option n’était plus envisageable. De plus, l’Argentin Javier Saviola dont le transfert pour l’As Monaco traînait à cause de cet interminable feuilleton, devrait débarquer dans les tout prochains jours en principauté. Ce contrat d'une durée de quatre ans constitue le septième transfert du mercato pour le Fc Barcelone, après ceux de Belleti, Giuly, Larson , Deco, Sylvinho, Edmilson. Samuel Eto’o qui a été présenté dans la nuit d’hier au public barcelonais et à la presse, après une visite médiale, devrait effectuer sa première séance d’entraînement ce matin, en attendant son premier match annoncé pour le 25 août prochain, à l’occasion du trophée Joan Gamper.
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