Ramón Calderón et Samuel Eto'o

Cassano, avec un pied hors de ce qui est Réel

 Ramón Calderón on photographiait très souriant mercredi avec Samuel Etóo en Tenerife, l'île malditoe de le 'Cinquième du Buitre ', où tous les deux ont coïncidé dans le Tournoi International alevin de de football- 7 d'Arona. Le président du real Madrid, dans son incontinence verbale habituelle, a dit que la sortie  a été "une erreur" de l'attaquant camerounais du club blanc, quand Calderón lui-même, directeur de Pérez Florentin, FC ne s'est pas opposé alors à la vente de Samuel au Barcelone pendant l'été de de 2004.

Durant les quatre années que Calderón a faites partie de la directive de Pérez Florentin, le président n'a défendu maintenant jamais la continuité d'Etóo dans ce qui est Réel, comme il est ainsi composé dans les actes des 26 réunions qui a maintenu l'Assemblée entretemps Calderón qu'était vocal. Dans toutes sa signature donne l'approbation à toutes les décisions de Pérez Florentin, à auquel Calderón indique à nouveau comme celui 'mauvais 'du film, dans ce cas celle d'Etóo.

Qu'est-ce que pensera Ronaldo ?

Calderón, comme bon ventilateur taurin qui est, est regretté maintenant à taureau passé de qui Madrid Réel (seulement il lui a resté à mentar à Pérez Florentin) se détacherait à leur tour du camerounais goleador, à celui qui considère "si non le mieux, un des trois ou quatre meilleurs attaquant du monde. C'est un joueur de football exceptionnel et j'admire à des sportifs comme lui, parce qu'il a été exemplaire avec sa lutte et j'efforce pour triompher. Je soutiendrai toujours à ce type de joueurs ", il a manifesté Calderón, celui qui, par exemple, à son Ronaldo avant n'a pas consacré ni une millionième partie ses de beaucoup d'éloges et piropos à Etóo.

Celui forcé apretón de mains de Calderón et le camerounais en Tenerife (plus de un l'a vu hier comme celle inocentada de l'année) non seulement HA reabierto une 'blessure 'qui n'a jamais terminé de cicatrizar dans le madrismo, pour lequel Etóo est un martyre, mais sa marche au Barça desenterro'hier ce 'vieux 'débat dans des forums et des réunions entre amis radiophoniques. Dans un certain programme, le président meringue a été critiqué par des ventilateurs madridistas, ceux qui l'ont reproché que comme directeur de Pérez Florentin jamais lui on écouterait se plaint quelqu'un par la cession du crack camerunés au FC Barcelone.

Calderón a cherché glisser le volume sur la sortie d'Etóo. "Alors les dirigeants nous n'intervenons pas dans leur vente. Ont décidé le technicien et le directeur général ", a été défendu en Tenerife. Le président lenguaraz fait à nouveau le bon le propos de 'par la bouche meurt le poisson '

source: mundo deportivo